I.II.Historique

I.II.II.De 1950 à nos jours

I.II.II.I.Bivouacs, expositions et autres événements
au Caillou et ses alentours…

La présente chronologie ne prétend pas être exhaustive.
L’histoire de la Sben et celle du Musée du Caillou, le Dernier quartier général de Napoléon, sont intimement mêlées depuis le 21 mars 1972, date à laquelle la Province du Brabant est devenue propriétaire des lieux et des collections. Ce qui suit est donc davantage une collection de souvenirs que la collecte rigoureuse de faits historiques. De petits et de grands moments : des découvertes pour certains, un peu de nostalgie pour d’autres…

1982

La première reconstitution historique a lieu.

1984

Inauguration de la fermette restaurée.

1985

Première reconstitution historique au pied de la butte. La Sben organise une grande exposition « Le Caillou, la veille, pendant et après la bataille ».

1990

Deuxième reconstitution historique, au pied de la butte, et organisation, par la Sben d’une exposition sur « Les troupes Hollando-Belges en 1815 » à la fermette du Musée provincial.

1993

Une exposition consacrée au maréchal Ney est organisée dans la fermette, à l'initiative du professeur Herman van Nuffel, par la Société belge d'études napoléoniennes au Musée du Caillou (du 16 juillet au 12 septembre). L'exposition, explique Jean-Jacques Pattyn, réalisateur et responsable de la manifestation, a bénéficié de l'ouverture des frontières. Nous avons ainsi obtenu la participation de nombreux musées et collectionneurs français. Parmi ceux-ci, le Musée national de la Légion d'honneur et le Musée Carnavalet. Sans oublier bien sûr, du côté belge, le Musée de l'armée et le Musée de la Donation royale. De plus, trente-deux collectionneurs privés ont participé à l'exposition. Au total, ce sont 250 pièces réparties en douze vitrines, soit autant de portraits, lettres, armes, pièces d'équipement, objets personnels et autres figurines historiques.

1995

La bataille dans la bande dessinée : le Musée du Caillou se met en bulles en montrant comment des dessinateurs comme les époux Funcken, Dino Attanasio, Gotlib, Geluck ou encore Dupa ont revécu la bataille en y ajoutant, parfois, la brise de leur humour.

1998

La fin du Musée du Caillou… Cette fois, c’est officiel : oubliez le Caillou, il s’agit à présent du Dernier Quartier-Général de Napoléon. C’est ce qui a été annoncé pour l’ouverture d’une cinquième salle d’exposition à l’occasion d’une belle présentation de figurines historiques. Elle porte désormais le nom de « salle Adelin Pickman », un grand collectionneur bruxellois, en gratitude du don qu’il vient de faire de 72 superbes dioramas de figurines plates évoquant la campagne de Belgique de Juin 1815.

1999

Le bivouac de 130 reconstitueurs organisé par la Province au Dernier QG le week-end des 5 et 6 juin avec des groupes provenant de Belgique, de France, de Suisse et même de Russie a finalement survécu à l’une des plus pénibles conditions de combat : celle de cette pluie quasi incessante qui a découragé beaucoup de public.

2000

Plein de projets… mais une concurrence inattendue : l’Euro Foot 2000 !
Le 2ème Bivouac napoléonien a repris place dans le verger de la ferme du Caillou les 17 et 18 juin, date historique pour honorer le passage de l’Empereur en ce lieu.

2001

La bataille se rejoue à Vieux-Genappe, au Dernier QG les 16 et 17 juin : parades, relèves de la Garde, exercices de tirs... cette fois, la foule est présente pour le 3ème Bivouac napoléonien. Mais, le Musée a cinquante ans et, en juillet, il en profite pour se souvenir et organiser une exposition consacrée à l’histoire de cette ferme qui, brûlée au lendemain de la bataille retrouve son affectation avant de devenir un de ces inévitables cabarets jalonnant cette route surtout fréquentée par les charbonniers livrant leur « charbon de terre » aux Bruxellois. Puis, devenue demeure aux ambitions patriciennes, elle est, en 1905, la propriété de la comtesse de Villegas, épouse de Lucien Laudy qui y accumule une impressionnante collection de souvenirs militaires. A son décès, en 1948, nombreux sont ceux qui s’émeuvent de l’avenir de cet ensemble de témoignages et c’est ainsi que la Sben, emmenée par son président, Théo Fleischman, décide d’acquérir le bâtiment qui devient le musée inauguré le 3 juin 1951. Gravures, plans, photos, dessins et cartes postales illustrent cette longue histoire qui est loin d’être terminée puisque l’on apprend qu’une enquête publique est en cours afin de réaménager la rotonde (aire de pique-nique sise entre le musée et la fermette), de même que la cour intérieure du musée.

2001 encore

Du 5 au 22 juillet, une exposition pour les 50 ans d’existence du musée : des tableaux, des gravures, des dessins, des cartes postales... sans oublier des photographies, c'est toute l'histoire de la ferme du Caillou qui défile sur les murs de la fermette. L'exposition retrace le passé agité de cette exploitation agricole et de ses différents propriétaires jusqu’à l’inauguration officielle du musée par la SBEN le 3 juin 1951. C’était aussi l’occasion de visiter le musée provincial.
Il y eut, en 2001, 13.581 visiteurs au Dernier QG et il est envisagé d’en faire la Porte du Sud du champ de bataille.

2002

Des aménagements de l’extérieur, allées et cour, pour un montant de 37.184 euros sont réalisés par la Province afin de mettre en valeur le balcon de l’hôtel des Colonnes, le puits et l’ossuaire.
Les reconstitutions ont lieu cette année le week-end du 22-23 juin. Le verger et les jardins du Dernier QG sont militairement occupés par près de 220 soldats encadrés par leurs officiers.
On reconnaît le 2e Régiment de Chasseurs à pied, les Artilleurs de la citadelle de Namur, la 8e demi-brigade de Ligne (Dyle), le 46e de Ligne de Russie, le Ier Bataillon de la société italienne de Marengo, la 9e Légère britannique, l'Historische kanonen groep van Maastricht, le 127e de Ligne allemand, le 21e et le 30e de Ligne britannique et la 5e Brigade prussienne qui, cette fois en bonne entente, se partagent la soupe et la paille. Pourtant, les environs du Caillou sont occupés par trois canons et d’importants détachements de cavalerie qui, heureusement, feront mouvement vers Plancenoit où les attendent de furieuses charges.
Entre le 5 juillet et le 18 août, la Sben investit la fermette du Dernier QG pour faire découvrir au public une exposition consacrée aux Belges décorés de la Légion d’honneur, de son origine à nos jours. Elle est placée sous le haut patronage de la section de Belgique de la Société de la Légion d'honneur et a été montée en collaboration avec la Fondation Napoléon de Paris, le Commissariat général du tourisme de la Région wallonne et la province du Brabant wallon.

2003

Serait-ce un message du passé ? Mais qui donc a pu créer ce magnifique crop circle (agroglyphe) surgi dans les champs en face du Dernier QG dans la nuit du 5 au 6 mars ?
A nouveau, le 5ème Bivouac napoléonien se met en place pour son édition annuelle les 21 et 22 juin.
Pendant tout le week-end du 6 et 7 septembre, le verger est occupé par le régiment belge du 7e de ligne et la 8e demi-brigade de Ligne. Le public est invité à assister à la préparation de la soupe, des exercices de tir ou la relève de la garde.

2004

Début février, les cimaises du Musée s’enrichissent d’une grande peinture sur bois représentant l’Empereur à cheval intitulée « Le retour de l’Aigle » (de 1996) réalisée grâce au talent d’un artiste de Lasne, André Craps, qui a décidé d’en faire don au Dernier QG.
La traditionnelle manifestation de l’institution provinciale se renouvelle avec le Bivouac napoléonien au mois de juin, les 19 et 20. La présence de Patrice Courcelle et de ses œuvres donnera le ton artistique du week-end.
L’association belge pour la recherche et la reconstitution historique (A.B.R.R.Hi.) profite de l’occasion pour organiser une importante exposition sur le thème « la reconstitution historique du passé au présent » dans la fermette du Caillou du 4 juin au 11 juillet.
Depuis le début du mois, les visiteurs du Musée avaient pu découvrir la vie quotidienne des soldats de Napoléon. Voici comment allumer sa pipe ou nettoyer son arme et là, dans une autre vitrine, un bonnet de nuit, de la cire pour giberne ou l’une de ces gamelles que devaient se partager à tout de rôle neuf hommes. Passionnant !

2005

« Quand l'Empereur était clément… »
Une belle exposition provenant en grande partie de celle déjà organisée à la bibliothèque Marmottant (Boulogne-Billancourt) rassemble de nombreux documents et objets en relation avec une anecdote célèbre. Le prince de Hatzfeld, gouverneur de Berlin occupée par les Français, avait commis, en octobre 1806, une lettre bien imprudente qui lui valut une immédiate condamnation à mort. C’était sans compter le courage et le charme de son épouse à laquelle Napoléon suggéra de jeter la lettre au feu lors de leur pathétique rencontre. La preuve détruite, le prince fut gracié.
Les reconstitutions de ce 190e anniversaire rassemblent plus de 2.000 combattants provenant de plus de 25 pays. Les bivouacs du Dernier QG, de Plancenoit et d’Hougoumont se tiennent les 18 et 19 juin et attirent une foule énorme. Pour la première fois, Napoléon et sa garde personnelle sont présents dans le parc du musée.
Plusieurs milliers de visiteurs se rendront le samedi soir pour suivre la marche aux flambeaux au Hameau du Lion et le dimanche pour assister aux farouches combats de Plancenoit.
La Fermette du Dernier Q.G. de Napoléon abrite l’exposition de peintures « 190 ans après.. » de Monsieur André Craps du 18 juin au 21 août.
La Province profite de ces événements pour annoncer une révision profonde de l’édition de l'Histoire de la ferme du Caillou due à Théo Fleischman maintes fois rééditée et dont la dernière édition de 1984 est épuisée. Cette nouvelle version, « Le Caillou d'hier à aujourd'hui », a été tirée à 1.000 exemplaires, compte 100 pages et est en vente au Musée pour 5 euros.

2006

Le musée profite des commémorations du 8ème Bivouac napoléonien des 17 et 18 juin pour rappeler au public ses richesses. Tous les journaux parlent du lit de camp de Napoléon - un modèle entièrement pliable fabriqué par un serrurier - ainsi que la table, les chaises et le crucifix qui se trouvaient dans sa chambre à coucher, durant la nuit du 17 au 18 juin.
Il y a aussi ce pot en faïence avec lequel Napoléon s'est désaltéré le 15 juin 1815 à Charleroi, ainsi qu'une de ses bagues découverte dans sa berline, pillée à Genappe le soir de la bataille et la fameuse nappe sur laquelle furent déployées les cartes devant lesquelles l’Empereur expliqua son plan de bataille à son état-major.
Que serait un musée napoléonien sans une mèche de cheveux de Napoléon ? Elle est là, dans une vitrine, protégée dans un médaillon offert en mars 2003 par un habitant de Lasne. L’imagination des lecteurs est encore excitée par le squelette du hussard découvert en 1910 et qui repose dans le musée, entouré de balles, de boulets de canon et de fusils dont l’un d’eux lui fut sans doute fatal. A moins que ce ne soit l’un de ces sabres…

2007

Les sept premières éditions du Bivouac napoléonien furent organisées par la Province du Brabant wallon seule. L’expérience du 190ème anniversaire de 2005 a renforcé les liens entre les acteurs du Champ de Bataille de Waterloo et a permis de faire évoluer un souhait de partenariat en 2006 avec le 8ème Bivouac napoléonien.
L’édition de cette année 2007 se base sur une organisation conjointe avec de nouveaux partenaires : les communes de Waterloo et de Genappe qui ont rejoint la commune de Lasne, la société Culturespaces Belgique et l’asbl « Bataille de Waterloo 1815 ».
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Une collaboration inattendue : la nuit du 15 au 16 juin, le terrain est préparé par ces mystérieux visiteurs qui, comme en 2003, nous créent un magnifique crop circle en face du Caillou.
Le 9ème Bivouac napoléonien a donc eu lieu les 16 et 17 juin, toujours soutenu par la 8ème demi-brigade de ligne pour la coordination et le commandement des troupes. Pendant que les soldats préparent la soupe, l’Empereur entouré de ses maréchaux, déjeune d’escargots et de côtes d’agneau.
Plus de 10.000 personnes assistent, le dimanche, aux assauts de la ferme d’Hougoumont au cours desquels sont utilisés, pour la première fois et pour faire encore plus vrai, des fumigènes et des gros pétards qui éclataient de-ci de-là, au milieu des clameurs. La bataille finira avec ces charges d’une septantaine de cavaliers se lançant bravement à l’assaut d’une douzaine de canons installés sur la crête. Les combats ont aligné des troupes venues d’ 'Allemagne, de Belgique, de France, de Grande-Bretagne, d’Italie, d’Irlande, du Luxembourg, des Pays-Bas, de Russie, de Suisse, de Tchéquie et d’Ukraine.
Pendant ce temps-là, la fermette du Dernier QG s’ouvrait à la visite d’une exposition « L’œuvre civile de Napoléon » consacrée au génie civil de Napoléon, un aspect finalement peu connu. Dix-huit tableaux retracent les progrès apportés par le Premier Empire, du code civil à la Légion d'honneur, en passant par le cadastre et les institutions durables. Ces tableaux ont été réalisés en partie par l’association napoléonienne « Les Compagnons de l’Empire » en collaboration avec la Société belge d’études napoléoniennes. Une autre partie de l'exposition détaille aussi les avantages que la Belgique a retirés de l'Empire, ainsi que ceux qu'elle lui a apportés, comme la première caisse de sécurité sociale, ou le port d'Anvers.

2008

La Province du Brabant wallon organisera, en partenariat avec l’asbl Bataille de Waterloo 1815, les Communes de Braine-l’Alleud, Genappe, Lasne et Waterloo, la Maison du Tourisme de Waterloo, l’Association pour la Recherche et la Reconstitution historique et la société Culturespaces, avec le soutien du Commissariat général au tourisme de la Région wallonne, les 10èmes Bivouacs napoléoniens le week-end des 21 et 22 juin.
Le partenariat des acteurs du Champ de Bataille permettra, pour la deuxième fois, d’organiser deux bivouacs et deux batailles. L’Empereur (rôle repris par Mark Schneider) est de nouveau présent dans le Parc de la Ferme du caillou.
C’est l’année de la plus grande reconstitution jamais organisée !
Pour la dixième fois, les bivouacs s’installent. Les alliés anglo-hollandais et prussiens occupent le verger de Goumont alors que les Français s’installent naturellement au Dernier QG, non loin de la tente de l’Empereur qui, en l’occurrence, est celle utilisée par Christian Clavier dans le téléfilm sur Napoléon.
Le samedi soir, à Plancenoit, les Français sont à nouveau repoussés jusqu’à la place du village où, finalement, les blessés seront ramassés et ramenés à la lueur des flambeaux. Le dimanche matin, ce sont les champs proches de Goumont qui font revivre les pires heures de la bataille mais, heureusement, l’après-midi, le Dernier QG est transformé en ambulance, ce qui permet au public d’assister à des démonstrations de praticiens du service de santé et de découvrir comment on soignait les blessés à l'époque.

2009

En ce week-end des 20 et 21 juin, c’est la onzième reconstitution historique. Cette fois encore, plus de 1.200 volontaires venant d’une quinzaine de pays vont refaire la bataille, soutenus par la cavalerie forte d’une centaine de hussards et de lanciers. Comme cela devient une coutume, les Français bivouaquent au Dernier QG et les Alliés au Goumont.
Le public pourra encore assister au repas de l’Empereur dans les jardins de son Dernier QG le samedi, à 13 h, alors que le dimanche après-midi, les médecins et ambulanciers de la Grande Armée procéderont à des reconstitutions d’amputation avec le matériel et les ustensiles de l’époque. Les plus sensibles ont toutefois pu apprécier le Marché napoléonien organisé dans la fermette.

2010

Les 18, 19 et 20 juin a eu lieu la grande reconstitution de la Bataille de Waterloo dans le cadre des événements commémoratifs quinquennaux plus importants.
Le vendredi 18 juin en soirée, le public a pu assister à un spectacle de combats pyrotechniques au pied de la Butte du Lion.
Le samedi et le dimanche, les visiteurs ont découvert la vie civile et militaire dans les différents bivouacs où logeaient plus de 3.000 participants en uniformes d’époque venus des 4 coins du monde.
Deux batailles ont été organisées : le samedi soir à Plancenoit et le dimanche matin sur les terres historiques de la Haie-Sainte où l’on pouvait profiter du spectacle soit debout sur le champ ou assis dans les tribunes avec un confort visuel et acoustique maximum.
Plus de 70.000 personnes ont défilé tout le week-end sur le Champ de Bataille, du Dernier Q.G. de Napoléon au hameau du Lion en passant par Plancenoit et Hougoumont.
Les reconstitueurs se partagent les bivouacs, les uns, au sud, prêts à attaquer, les autres, dans le verger du Gourmont, prêts à résister. Ils représentent 17 nations, dont les nouveaux venus de Norvège, de Roumanie et d’Irlande. Si loger les hommes est une terrible organisation, la présence de 250 chevaux en est une autre, bien plus complexe qu’il n’y paraît. Pour ces derniers, il faut songer aux 30 tonnes de paille nécessaires, alors que la préparation de la soupe dans les bivouacs, à l’authentique, exige, elle, 70 stères de bois !

2011 : 60 ans !

Le Musée du Caillou devenu le Dernier Quartier-Général de Napoléon fête ses soixante ans d’existence.
Le Collège provincial du Brabant wallon décide de marquer cet événement à la fois sous les aspects académique, festif et promotionnel durant le week-end des 28 et 29 mai, en partenariat avec la Société royale belge d’Etudes napoléoniennes.
Le samedi 28 mai s’est déroulée une séance académique suivie d’une conférence musicale « Ces Musiciens qu’aimait Napoléon », par René De Macq et Géraldine Kenningsman.
Cette journée fut également l’occasion d’inaugurer la Donation Jacques Polain, en présence du donateur, et de ces collections réaménagées dans les cinq salles du Musée.
Le week-end des 28 et 29 mai se tenait dans l’enceinte du musée, un Bivouac napoléonien, avec la participation des régiments français du 8e de Ligne et des cavaliers du 7e Cuirassiers. Une promenade-découverte à partir du musée et du Hameau du Lion dans le Champ de bataille était également organisée pour les visiteurs. Un cahier-itinéraire de la marche détaillé et explicatif fut édité à cet effet afin que les participants puissent admirer les différents monuments et stèles historiques dédiés à la Bataille de Waterloo.
Une superbe gravure représentant le Caillou en 1815 tel que l’a imaginé Lucien Laudy (l’œuvre est aux cimaises du Musée) a été éditée pour la circonstance.
Le Caillou en 1815
Le partenariat des acteurs du Champ de Bataille permet à nouveau d’organiser deux bivouacs et deux batailles pour commémorer l’histoire du 18 juin 1815. Près de 1.000 reconstituants en uniforme participeront à l’événement des 18 et 19 juin.
Deux lieux de bivouacs étaient prévus : les Français au musée provincial « Dernier Quartier-Général de Napoléon » et dans un champ à Plancenoit, les Anglo-hollandais et les Prussiens dans une prairie jouxtant la ferme d’Hougoumont.
La bataille a opposé cette année encore plus de 900 reconstitueurs venus de 11 pays qui, soutenus par une cinquantaine de cavaliers et une quinzaine de canons essayeront de prendre Plancenoit ou de faire tomber le Goumont.
Le dernier quartier général de Napoléon

2012

Les multiples éditions et rééditions de l’histoire du Caillou étant épuisées, une nouvelle version visant le grand public est éditée : 24 pages, en couleur, pour à peine 5 euros.